Parce qu'il faut retenir le meilleur pour tenter d'accepter le pire

Parce que je ne veux retenir des jours écoulés que le meilleur...

Parce que cela adoucit (un peu) le désagréable qui est arrivé et le pire qui semble imminent...

J'ai aimé échanger des messages avec un ami dont les paroles ne sont que sourires. Dans l'adversité et ces temps agités, pour lui comme pour moi, le simple fait de se parler est un vrai bol d'air frais.

J'ai aimé aussi le déjeuner dominical chez mes parents, déjeuner au gout de l'enfance... poulet au citron avec du riz... un vrai réconfort!

J'ai aimé sortir trois soirs de suite, malgré la fatigue que cela a engendré :

 

Le concert "Star 80"; cadeau d'anniv en avance (merci !!!)

La soirée de Noël de West Coast Connexion avec dress code rouge et blanc; ça fait du bien de danser!

Les 40 ans d'un copain; occasion de revoir des amis un peu perdus de vue ces derniers temps et de discuter autour d'un bon verre de vin.

Pour le reste, le moins agréable et le pire, je préfère ne rien dire. Un peu comme les enfants qui se cachent les yeux et espèrent ainsi être cachés aux yeux des autres, je passe les évènements désagéables et douleureux sous silence, comme pour faire en sorte qu'ils n'aient pas existé, qu'ils n'existent pas...

Je sais, à un moment, l'autruche devra bien sortir la tête du sable.

Comments

[Françoise B.]

Y a-t-il des autruches sereines? dans le sable ou en dehors?